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     VOYAGES DANS VOTRE IMAGINAIRE

EXPRESSION ÉCRITE

RETOUR

Ce texte est une suite de « Louis Popitoul » de Christelle LE GUENN paru en 2004

Tandis que Louis Popitoul flottait dans l'espace depuis près de 4 jours et que la faim et la fatigue le tiraillaient de toutes parts, une énorme météorite passa à quelques dizaines de mètres de lui, l'emportant dans son sillon. Il fut ainsi ramené sur terre, mais bien loin de l'endroit où il habitait auparavant.

Totalement perdu et désespéré, il finit par rencontrer des gens fort sympathiques qui le connaissaient déjà grâce à la renommée de sa mercerie. Ils ne crurent pas un seul instant aux mésaventures que Louis leur raconta. Pour eux, cette histoire de retour sur terre grâce à une météorite était totalement absurde. Cela dit, ils l'accueillirent tout de même chez eux, le temps que Louis parvienne à reconstruire sa vie.

Un jour, alors qu'il errait dans sa nouvelle ville qu'il ne connaissait pas encore très bien, il se retrouva face à un ancien magasin d'outillage. Celui-ci, fort délabré, plut immédiatement à Louis Popitoul qui y vit l'occasion de relancer sa carrière de commerçant fantasque.

Il fit un emprunt pour racheter le magasin abandonné, mais ne savait pas encore ce qu'il allait y vendre. A force de réfléchir, une idée lui vint à l'esprit : « La famille qui m'a recueilli n'a pas cru mon histoire, ils ont bien cru que je leur jouais du pipeau alors que je racontais la vérité. Eh, bien, je vais inventer des outils qui permettent de raconter de vrais mensonges, des mensonges parfaits, des mensonges indécelables !! » C'est ainsi que Louis Popitoul changea de nom pour devenir Louis Pipotool et vendit des outils à pipo pour duper les gens. Son magasin de mensonge, il l'appela « La Pipoterie ». Son premier client fut un enfant qui cherchait un mensonge à raconter à l'école pour ne pas faire un contrôle. Louis lui vendit une carte à gratter indiquant qu'il fallait laisser tomber quelques gouttes d'encre rouge sur un mouchoir. Le moment du contrôle arrivé, il lui suffisait de le porter à son nez pour faire croire à un saignement. Son premier client fut extrêmement satisfait et le bouche à oreille fonctionna parfaitement. Tant et si bien que les demandes de mensonges abondèrent dans la boutique de Louis. L'un ne voulait pas rater son entretien d'embauche, Vautre cherchait à séduire sa bien-aimée par tous les moyens...et la file d'attente s'étira à perte de vue devant la pipoterie.

Les affaires étaient florissantes et Louis n'avait pas du tout mauvaise conscience, bien trop occupé à élaborer de nouveaux outils à mensonge. Pourtant, un jour, un sinistre personnage franchit la porte de son magasin. Il acheta l'outil à mensonge le plus cher du magasin, le fameux Pipotor 3000. En fait, cet homme était un avocat, et parmi tous les gens de sa profession, c'était sans doute le moins scrupuleux. Grâce au mensonge vendu par Louis Pipotool, il défendit brillamment un célèbre voleur qui évita la prison. Mais bien mal acquis ne profite jamais ! Toute la supercherie fut découverte par la police qui s'empressa d'enfermer le voleur, l'avocat et notre pauvre Louis Pipotool qui se retrouvèrent tous les trois derrière d'épais barreaux.

La boutique de Louis avait finalement créé la discorde générale et nombreux furent ceux qui regrettèrent d'avoir menti.

Pourtant, bien des années plus tard,

Louis JUNIOR, eut une idée...

 ÉCRIT EN 2008 PAR LES ÉLÈVES DE 6ème DU COLLÈGE DE LA GRANDE MÉTAIRIE - PLOUFRAGAN (22440)

 ÉCRIT EN 2008 PAR LES ÉLÈVES DE 6ème DU COLLÈGE DE LA GRANDE MÉTAIRIE - PLOUFRAGAN (22440)

Cela faisait déjà bien longtemps que la vieille était enfermée dans sa bouteille de vinaigre et son humeur n'allait pas s'améliorer dans cette prison visqueuse. Mais un jour, un homme dénommé José vint emménager dans la maison qu'il venait tout juste de racheter. Mais lorsque, pour son premier dîner dans sa nouvelle habitation, il voulut rajouter du vinaigre dans sa salade, quelle ne fut pas sa surprise de se retrouver avec une vieille dame dans son assiette! A peine libérée, la femme se montra déjà très désagréable et n'avait de cesse de se plaindre et de ronchonner. José quant à lui était bien contrarié d'être tombé sur cette dame totalement hystérique.

Quant à la femme sortie du vinaigre, elle retrouva sa bonne humeur lorsqu'elle commença à voir en ce nouveau colocataire un mari tout trouvé. Elle lui annonça qu'elle voulait passer toute sa vie avec lui, mais José lui rétorqua qu'il ne la supportera pas bien longtemps.

Le soir-même, lorsqu'ils voulurent aller se coucher, un terrible dilemme se présenta : il n'y avait qu'un seul lit. L'homme n'avait pas osé mettre la vieille folle à la porte et il n'avait pas d'autre endroit pour dormir. Elle ronfla toute la nuit, ce qui accentua l'énervement de José qui mijota un plan afin de s'en débarrasser.

Le lendemain matin, la première, chose que la vieille vit en arrivant dans la cuisine, ce fut la fée Maminouche. D'un simple sortilège, elle remit la vieille dans la bouteille. José arriva à son tour dans la cuisine et la fée lui annonça qu'elle avait exaucé son souhait en remettant la vieille dans la bouteille.

José remercia Maminouche qui s'en retourna. Il pouvait enfin profiter de sa nouvelle demeure paisiblement. Il commença donc par se préparer un petit déjeuner bien copieux. Il versa du lait dans sa tasse et en but immédiatement. Mais cette gorgée eut bien du mal à passer. José se demanda donc ce qu'il avait bien pu avaler de si gros. Que pouvait-il bien y avoir dans son lait...

Après un moment de réflexion, il se précipita vers la bouteille de vinaigre et il constata avec stupeur qu'elle ne contenait rien d'autre que du vinaigre. C'est alors qu'il comprit que la fée s'était trompée de bouteille pour enfermer la vieille : elle était dans la bouteille de lait et il venait de l'avaler toute crue et son caractère allait déteindre sur lui.

Au bout de quelques minutes, il commença à grommeler.

Au bout de quelques heures, ses plaintes et ses réclamations devinrent de plus en plus abondantes.

Au bout de quelques jours, il hurlait après toutes sortes de choses qui lui déplaisaient.

Au bout de quelques mois, personne ne supportait plus José, car il n'était jamais content.

Au bout de quelques années, la mauvaise renommée de José se répandit à travers le pays. Plus personne n'ignorait qu'il était devenu fou parce qu'il avait englouti la vieille et c'est ainsi qu'elle devint célèbre et que l'on commença à parler de l'histoire de « La vieille hystérique historique ».

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 ÉCRIT EN 2019 PAR LES ÉLÈVES DE 5èmeE DU COLLÈGE GERMAINE TILLION - LA MÉZiÈRE (35520)

DANS LE CADRE DU PROJET INTITULÉ « VOYAGES DE POCHE »

Le 6 juin 2000, un chercheur appelé Jacky acheva la conception de sa machine à voyager dans le temps. Il l'utilisa à plusieurs reprises, mais une fois, il est allé trop loin et il est ainsi arrivé au temps des dinosaures.

 Il crut qu'il était au pied d'un arbre, il regarda autour de lui et vit plein de dinosaures. Puis, il relèva la tête et s'aperçut que ce qu'il croyait être un tronc d'arbre était en réalité un dinosaure. Au-dessus de lui, il vit une tâche grise qui allait lui tomber dessus, c'était la patte de l'effrayant animal. Il se mit alors à courir le plus vite possible pour échapper au danger. Sa machine se fit écraser car il l'avait oubliée. Il se retrouva donc bloqué à cette époque redoutable.

 Il y resta coincé pendant 10 ans, lorsqu'un jour, il trouva du fer et du métal qui lui permirent de reconstruire sa machine. Cela lui prit 3 mois. Mais il lui manqua une pièce et pour la retrouver, il dut aller la chercher dans une forêt. Plus tard, dans l'après-midi, il trouva une grotte, y entra et découvrit un œuf de tyrannosaure. Puis il vit la mère arriver, il prit de l'herbe et la mit sur lui afin que la mère ne sente pas son odeur. Elle couva ainsi son œuf. Comme elle ne le remarqua pas il put partir incognito.

 Mais dans cette grotte, il y avait l'objet qu'il cherchait. L'œuf éclot, et le bébé dinosaure sortit immédiatement de sa coquille avec l'objet convoité dans sa bouche. La mère partit chercher à manger pour son petit, Jacky en profita alors pour prendre une corde et se saisir de l'objet. Puis il retourna finir sa construction et put enfin retourner dans le présent.

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Augustine, Séquoia, Cyriaque et Kewan

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